Vu dans la presse

Un article de la Nouvelle République .... 
Nuit romane du 17 août 2012 à Saint-Maurice la Clouère ...
















 Lousse ... Ils en parlent ...

« Lousse accroche d'autres couleurs à la lune. Au gré de ses rencontres, Lousse a chargé d'ondes acoustiques et positives sa Nouvelle Lune. Le voile se lève dans un disque et un film enregistrés en public. (...) Lorsqu'elle est partie en quête de sa « Nouvelle Lune », Marie-Caroline Revranche alias Lousse, y avait projeté ses ombres et ses lumières, les cratères ténébreux et les arêtes aiguës, la profondeur et la douceur, qui vibrent tout ensemble dans sa voix unique et protéiforme. (...) Quand elle présente « Nouvelle Lune » au Camji, à Niort le 29 novembre 2008, Lousse lui a donné des reflets acoustiques, qui ont séduit le public, notamment lorsqu'elle a joué en ouverture de Jacques Higelin et d'Ange. L'arrivée de la chanteuse Caroline Monamy, qui collabore avec elle de longue date, lui permet aussi d'explorer plus loin la voie de la polyphonie. (...) La quête de Lousse n'a jamais aimé les limites mais elle aime se jouer des contraintes. »
Isabelle Pasquet, La Nouvelle République


 « Pour décrire l'univers musical de Lousse, chacun y va de sa petite référence : Kate Bush, Nina Hagen, Ana Torreja sont tour à tour évoquées. Excusez du peu ... Bien obligé d'admettre pourtant que la voix de Lousse est à nulle autre pareille, qui se balade d'un extrême à l'autre, de l'aigu le plus pur à un grave déroutant. Il faut emprunter d'étranges chemins pour - peut-être - entrer dans l'univers de Lousse. Elle va jusqu'à inventer son propre langage « l'ïnachao » pour mieux prendre son auditoire, pour mieux le séduire ... Entourée de ses musiciens complices, Lousse propose un moment rare. Si vous aimez le tout-venant et le pré-formaté, ne vous attardez pas. En revanche, si vous ne craignez pas d'être troublé... »
 Jacques Morel, Le Moulin du Roc, Scène Nationale de Niort


 « Pour tracer la voie qui lui appartient, Lousse explore tous les registres vocaux, du parlé au chanté, de la douceur à la tension extrême, du chuchotement à l'âpreté. »
La Nouvelle République

« Enjôleuse, féline, enfantine, sombre, lumineuse, Lousse a joué de sa voix, qui caresse les extrêmes pour mieux émouvoir. Elle a bousculé les tessitures, s'est promenée, insouciante, de rupture en rupture, avec une facilité et des contrastes dignes de Kate Bush, Catherine Ringer ou encore Nina Hagen. »
La Nouvelle République

« Une voix à découvrir en ïnachao ... »
Le Courrier de l'Ouest

 « Où cherchent donc à nous entraîner Linda-Carina Dyrefelt et Marie-Caroline Revranche alias Lousse ? C'est assez obscur, mais le dessein de ces deux compositrices et parolières n'est pas la clarté. Leurs terrains de jeux sont marécages entre chien et loup, hantés de sorcières et de fées sous l'oeil impassibles d'animaux mystérieux entrevus entre les branches d'une végétation luxuriante. Un Moyen Age imaginaire de bande dessinée façon Loisel. Que les textes soient chantés, voire récités entre déclamation et Sprechgesang, en français, en suédois, en anglais, espagnol, allemand ou dans une langue imaginaire, on ne cherchera pas forcément à les comprendre mot à mot. Mais on se laissera porter par les images qu'ils font surgir et par la musicalité de leur diction entre cris et chuchotements. (...) Ils sont une bonne dizaine à apporter une contribution ponctuelle ou régulière à cette foisonnante et ensorcelante bande sonore.» Franck Bergerot, Le Monde de la Musique


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